Production écrite à l’imparfait – Le monde imaginaire des Shadoks

Cette semaine, les élèves de la classe A2 de l’école de langue alpha.b à Nice ont travaillé sur l’imparfait et le monde imaginaire des Shadoks.

Connaissez-vous ce dessin animé ? C’est une série française (cocorico !) qui existait dans les années 70 composé d’épisodes très courts (2 à 3 minutes). Elle a connu un revival dans les années 2000 quand une quatrième saison a été commandée par la chaîne Canal +.

Dans cet article, nous avons travaillé à partir du tout premier épisode de la série et nous nous sommes inspirés de l’excellent site web : Les Zexperts.

Pour commencer, nous vous invitons à visionner la vidéo de ce premier épisode des Shadoks.


Les Shadoks – 1er épisode par trichamiky

 

 

Les planètes de nos étudiants :

imparfait-shadok

Planète Prici

imparfait-shadok

La planète s’appelait Prici.

La forme était une boule mais seulement l’écorce extérieure.

Les Prici habitaient dans l’intérieur de la planète.

Ils étaient protégés contre les radiations cosmiques.

Il n’y avait pas de communication avec les autres planètes.

La planète avait son propre soleil dans son centre.

La planète BATTRE

production écrite imparfait

production écrite imparfait

 

Nous vous proposons de rédiger une production écrite pour créer une nouvelle planète, décrivez votre planète et vous pouvez même la dessiner comme nos étudiants ci-dessous. Postez vos productions dans les commentaires sur le blog ou sur notre page Facebook.

2 réponses
  1. sara
    sara dit :

    Doucement, j’avançais dans ce paysage neigeux. J’avais froid, soif et j’étais fatigué. Je ne savais pas où j’étais, je ne savais pas où étaient les autres.M’avaient-ils abandonnés ?
    Soudain, le blizzard se dissipa et je me retrouvais dans une forêt délabrée en face d’un cimetière abandonné. Il faisait sombre et le ciel était encore couvert de la tempête.J’entendais des loups hurler au loin dans la forêt. Derrière des tombes renversées se trouvait une ruine d’un ancien bâtiment religieux, sans doute.
    J’avançais en hésitant vers cette lugubre structure.Soudain, je crus voir un autre bâtiment, plus grand, et brillant surgir derrière cette ruine. Des silhouettes toutes noires en sortirent et se mirent à marcher deux par deux, vers je ne sais où,s’enfonçant dans l’obscurité.
    Que se passait-il ? Serais-je en train d’halluciner ? Ou alors n’avais-je juste pas remarqué ce plus grand bâtiment avant ? Des corbeaux venaient se poser sur les arbres, etd’autres volèrent en cercle au dessus du sommet de cette structure.
    Mon cœur se mit à battre rapidement. J’étais confus, je ne savais pas ce qu’il se passait, j’avais peur. Je me dépêcha de mecacher derrière une des tombes renversées, avant que ces étranges personnes ne me voient. J’avais toujours soif, je sentais que ma vue se troublait et j’eus du mal à respirer.
    Les silhouettes necessèrent de surgir de cette grande porte étrange et d’une lumière aveuglante au milieu de cet endroit si froid et si sombre. Je ne pouvais pas rester là et attendre que cela passe, et pendant combien detemps ? Je ne tiendrais pas encore une heure si je ne me mettais pas à l’abri du froid. Je me relevais donc péniblement, tout en essayant de rester discret, et marcha de tombe en tombe

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